Catherine Lejaud, Licenciée en Arts Plastiques et Sciences de l’Art ainsi qu’en Etudes Cinématographiques (Centre st Charles et Institut d’Art et d’Archéologie de l’Université Paris I Panthéon Sorbonne) est peintre.
Parallèlement à son métier d’enseignante en Arts Plastiques à l’Education Nationale, Catherine Lejaud a suivi un cursus de comédienne.
Au Théâtre de Cachan, elle a joué dans les Précieuses ridicules de Molière, l’Agression de Michel Georges, Les mains sales de Jean-Paul Sartre, Montserrat d’Emmanuel Robles.
Elle a suivi des stages de théatre avec les metteurs en scène, Marc-Michel Georges, Laurent Maklès, et Anne Laure Liégeois ; joué dans une pièce de commedia dell’ arte dans le festival off à Avignon.
Elle rencontre le styliste Jean louis Pinabel pour qui elle sera mannequin sur le spectacle Mode Mode Mode à l’église des Célestins à Avignon en 1983
Avec l’Atelier théâtre de Laurent Maklès de l’Association « Une ville se raconte » elle interprète le rôle de « Mimi » dans l’Atelier de Jean Claude Grunberg en 1993, puis une Sorcière dans un spectacle sur Shakespeare.
Elle poursuit ses recherche dans les domaines de la peinture et de la photographie.
A partir de 1995, elle participe à plusieurs expositions collectives de peinture et fait des expositions personnelles : les « Ateliers ouverts à la Bastille » , au Château Laboissière à Fontenay aux Roses, avec les artistes Scéens au Creps de Chatenay Malabry, à Chatillon, Sceaux.
Comédienne pour la lecture de fables d’Oscar Mandel extraites de son ouvrage « La Reine de Patagonie et son caniche » pour « l’Heure Musicale au Marais » à la cathédrale Sainte Croix des Arméniens de Paris en octobre 2008
Exposition personnelle de peinture : chez Georges rue des Canettes à Paris en 2009 ; Exposition collective « les Artistes de Bagneux » en 2010.
Comédienne pour la vidéo « How are you today ? » de Christine Barbe 2010 www.christinebarbe.com Ateliers portes ouvertes 2010 à Fontenay aux roses 92 exposition au Garage Pierre à Arcueil 94 décembre 2010
« Ma démarche est un peu celle d’un fleuve ; il avance, s'adapte au terrain qu'il rencontre, contourne les obstacles, les englobe, coule et se répand par nécessité impérieuse.
Je trace à travers les encres, les peintures à l'eau, j’accroche leur fluidité, leur luminosité, je cerne l’éclat de l'or qui sacralise formes et couleurs.
Ce sont des Icônes de lieux rêvés, totalement utopiques qui partent d’un fragment d’architecture ; une porte ciselée, l’embrasure d’une fenêtre, un dôme pointant vers le ciel.
Je tourne autour en arabesques, motifs incrustés qui s’imbriquent, se déroulent, se déclinent d’un tableau à l’autre.
Improviser à l’infini et peindre avec l’innocence qui serait une certaine forme de spirituel dans l'art. » |
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